Kathleen & Andréa ♥



On était Mercredi et je m’ennuyai a mourir enfin pour le moment car j'avais envoyé un message a Kathleen ma deuxième meilleure amie pour allé faire du shopping cette après-midi car je n'avait rien a faire et elle non plus. J'avais rendez-vous avec elle dans 1H passé quoi 1H j'aurai jamais le temps de me préparé je courus vers ma salle de bain pris une douche rapide je sortis 10 minutes plus tard je partit vers ma penderie je ne savais pas quoi mettre du tout. Je décidais de mettre une petite robe noir avec une veste bleu et des escarpins noir. Aujourd'hui j'avais mis mes extensions je me fit un rapide brushing pour ondulé légèrement mes cheveux je me maquillais un peu et partis pour le centre commerciale qui était a 20 minutes de chez moi je n'est pas en retard. Je sortais de chez moi et partit vers mon garage et pris ma mustang rouge de 1967 convertible. Je partit avec la musique a fond vers le centre commerciale et arrivais avec 10 minutes de retard a cause des embouteillages. Je garais ma voiture sur le parking et parti devant le centre pour attendre Kathleen qui était visiblement en retard aussi. Je me mis donc a notre point de rendez-vous et l'attendit

Ma matinée avait été plus qu’ennuyante. Enfin… à partir de deux heures après mon lever parce qu’il avait fallu que je m’occupe un minimum de moi. Pour le coup, j’avais été au strict minimum, mais ça m’avait quand même pris deux bonnes heures. Sauf qu’une fois cette activité terminée, et bien il n’y avait absolument plus rien à faire. Triste, hein ? Ouais, moi je dirais plutôt pathétique. Qu’est-ce qu’on penserait de moi si quelqu’un m’avait vu, avachie sur mon canapé entrain de zapper inlassablement les chaines. Le seul programme que j’avais regardé jusqu’au bout, c’était Next. Ca me faisait rire de voir ces abrutis qui cherchaient absolument un(e) petit(e) copain/copine. C’était tellement risible. Les gens n’avaient honte de rien. En même temps, heureusement que le ridicule ne tuait pas.

Ma journée commençait réellement lorsque je reçus un message d’Andréa. Nous étions en plein repas, mais je ne me gênais absolument pas pour lui répondre. J’eus tout de même le droit à une réflexion de ma mère qui déclara qu’on n’envoyait pas de messages à table. Oui, oui… On lui dira.
Je donnais donc à Andréa rendez-vous au centre commercial dans une heure. Une heure, ce qui me laissait le temps de terminer d’avaler mon assiette et d’aller me parfaire un peu. J’aimais bien mettre le nez dehors en sachant que je n’allais pas passé inaperçu. C’était peut-être devenu maladif, mais c’était comme ça. Et je ne changerais pour rien au monde !

Une fois prête, je quittais la maison sans un regard pour personne. De toute façon, ça ne servait à rien étant donné que ma mère était enfermée quelque part et mon père était occupé à regarder la télévision. Je grimpais dans ma petite Mini et démarrais : direction mon endroit favori.
Il n’y avait qu’une seule chose que je n’avais pas prévue, c’était les bouchons et je détestais ça. Mon dieu ce que les gens pouvaient aller au ralenti. Il y avait le centre commercial qui m’attendait ! Et Andréa aussi ! Bah oui, quand même, je tenais un peu plus à ma meilleure amie. Je n’étais sans cœur à ce point !

Lorsqu’enfin j’arrivais, je me dépêchais de me garer avant de rejoindre Andréa qui se trouvait déjà sur place. J’affichais un sourire d’excuse sincère quand j’arrivais à sa hauteur.

« Désolée, il y avait un monde fou. Ca fait longtemps que tu attends ? » demandais-je.

Je poussais un léger soupire de soulagement lorsqu’Andréa m’annonça que ça ne faisait que dix petites minutes qu’elle était arrivée. J’avais eu la nette impression que ça faisait plus longtemps que ça qu’elle devait attendre, mais elle n’avait jamais eu besoin de me mentir.
L’idée qu’elle avait eu des soucis de circulation me vint, ce qui me semblait être le pourquoi du fait qu’elle n’attendait pas depuis longtemps. Enfin bon, ça ne servait à rien de polémiquer dessus pendant des siècles et des siècles. Nous étions là, et c’était tout ce qui importait.

« Oui ! Enfin, nous sommes là alors autant faire directement ce que nous avions prévu ! »

Je remis correctement mon sac à main à mon épaule puis nous entrâmes ensemble dans le centre commercial. Il y avait un peu de monde, mais ce n’était pas grand-chose par rapport à d’habitude. Et puis, quand c’était les soldes, c’était pire. Je m’étais déjà battue pour un tee-shirt avec une potiche rousse qui était plate comme une limande. Je n’avais pas été tendre avec elle et m’étais même cassée un ongle. Mais c’était pour la bonne cause alors je n’allais pas en faire un flan comme j’avais l’habitude de le faire.

« Mmh… Je sais pas ! Si je m’écoute, j’irais dans tous, donc si toi tu as besoin de quelque chose en particulier, j’irais là où tu iras. »

Parce que sinon, j’allais dévaliser les boutiques et ma mère allait encore me piquer une crise parce que je reviendrais avec une autre garde robe et qu’il commençait à ne plus y avoir de place du tout dans ma chambre pour pouvoir ranger tout ça. Elle voulait même que je fasse un tri. Ben voyons ! Je n’étais pas prête de me débarrasser de mes vêtements tout de suite. J’allais attendre encore un peu, quoi qu’en dise ma mère.